La Grèce, mère de la civilisation occidentale était au programme du grand voyage de printemps de la Dante Alighieri.
Il y eut bien sûr la visite des grandes cités de la Grèce archaïque, classique et hellénistique. Trop courte est apparue la découverte de la cité de la déesse Athéna ; comment rester insensible devant le masque d’or d’Agamemnon ou la beauté classique de l’Aurige ?
La foule trop nombreuse et bruyante n’a pas permis de profiter pleinement de la visite de l’Acropole. Heureusement, c’est dans un écrin de fleurs et avec Elios bienveillant que s’offrirent à nous Epidaure, Mycènes, Monemvassia, Mistra et Olympie ; mais aussi les terres sauvages du Magne où Guillaume de Villehardouin se tailla une principauté au XIIIème siècle.
Du sommet des gigantesques rochers de grès où se perchent les monastères des Météores, qui n’a pas eu un moment de vertige lors de l’ascension ?
Après des journées denses et variées, qu’il était agréable de profiter du confort des hôtels et du raffinement de la cuisine grecque. Inspiré par Terpsichore, la muse de la danse, le groupe a rejoint les danseurs d’un ensemble folklorique autour d’un sirtaki ou d’un kalamatiano.
Durant ce voyage, organisé en collaboration avec l’agence « Arts et vie » nous avons aussi apprécié le fait d’avoir une accompagnatrice à l’écoute de chacun et une guide faisant montre d’une grande érudition et s’exprimant dans un excellent français.
Que du bonheur ! Et à tous ceux qui ont participé au succès du voyage nous disons : Efkharîsto polí !