Du 28 avril au 1er mai 2018
Date de sortie 13 décembre 2017 (1h 35min)
De Leonardo Di Costanzo
Avec Raffaella Giordano, Valentina Vannino, Martina Abbate
Genre Drame
Nationalité italien
Dimanche 11 mars 2018, de nombreux sociétaires de la Dante Alighieri – nouveaux et anciens adhérents – se sont retrouvés dans la belle salle du cinquième étage de l’hôtel Ibis Styles pour un repas amical, suivi par la projection du film réalisé, à la suite du voyage de l’été dernier dans les Pays Baltes, par Alain Eymard, grâce au talent duquel les participants ont pu revivre de bons souvenirs. Ce fut un moment très convivial autour d’un menu inspiré par l’Italie. Continuer la lecture de LA DANTE PASSE A TABLE !
Georges Brun nous emmènera en Sicile avec sa conférence Splendeur des mosaïques siciliennes le jeudi 5 avril 2018, à 20h30, au Foyer du Centre Pierre – Cardinal.
Marie-Thérèse Giorsetti, avec la collaboration de Nadine Boisserie pour la partie illustration, donnera sa conférence sur Cent ans d’émigration italienne en France (1860-1960) : ombres et lumières,
le mardi 27 mars, à 20h30, à la Commanderie Saint-Jean.
Date de sortie 29 novembre 2017 (1h 27min)
De Edoardo Maria Falcone
Avec Marco Giallini, Alessandro Gassman, Laura Morante
Genre Comédie
Nationalité italien Continuer la lecture de Tout mais pas ça (Se Dio Vuole)
Trieste, 1945. Un original collecte des armes et les expose pour qu’elles deviennent des reliques. Un grand roman d’histoire humaniste.
Que vaut « L’enfant perdue », le tant attendu 4e et dernier tome de « L’Amie prodigieuse » d’Elena Ferrante ? France inter le masque et la plume
L’Université de Rebibbia est le récit du séjour que fit Goliarda Sapienza dans une prison en 1980. Moment critique dans la vie de l’auteur: après s’être consacrée de 1967 à 1976 à l’écriture du monumental roman L’Art de la joie et avoir fait face à un refus général des éditeurs italiens, c’est une femme moralement épuisée qui intègre l’univers carcéral de Rebibbia, la plus grande prison de femmes du pays. Pour un vol de bijoux qu’il est difficile d’interpréter : aveu de dénuement ? Acte de désespoir ? N’importe.
Comme un pied de nez fait au destin, Goliarda va transformer cette expérience de l’enfermement en un moment de liberté, une leçon de vie. Elle, l’intellectuelle, la femme mûre, redécouvre en prison – auprès de prostituées, de voleuses, de junkies et de jeunes révolutionnaires – ce qui l’a guidée et sauvée toute sa vie durant : le désir éperdu du monde.
mercredi 17 janvier, à 19h, à la Commanderie Saint-Jean la chorale AnDante redonnera le concert de Noël . Entrée libre sans réservation préalable. Nous partagerons la galette des rois après le concert.
Florence, été 1963. Le commissaire Bordelli est appelé dans une somptueuse villa dont la propriétairene donne plus de nouvelles. Il trouve la vieille femme inanimée sur son lit, ayant succombé apparemment à une violente crise d’asthme. Mais, devant cette scène trop parfaite, le doute s’installe rapidement, et les analyses médicales vont venir confirmer qu’il s’agit d’un meurtre. Bordelli mène l’enquête, aidé du jeune Piras et entouré de personnages hauts en couleur ? Diotivede, le médecin légiste ; Dante, le frère de la défunte, scientifique génial et excentrique ; Botta, voleur et cuisinier hors pair ; Rosa, prostituée au grand coeur?
Désabusé, nostalgique, solitaire, mais gourmand et bon vivant, le commissaire se meut dans une Florence déserte écrasée par une chape de chaleur, au volant de sa Coccinelle et poursuivi par ses souvenirs de la guerre et de la Résistance. Atmosphérique, plein d’esprit, ce roman aux accents chandlériens entraîne le lecteur à la découverte d’une ville et de ses méandres, d’une époque délicate mais surtout d’un héros subtil et attachant. Une pépite.
Avril 1964, le ciel gris sur Florence ne présage rien de bon. Deux fillettes sont retrouvées assassinées, chacune porte des marques d’étranglement et de morsures. Aucun indice, aucune trace, aucun suspect, le commissaire Bordelli piétine. Et pour ne rien arranger, son ami Casimiro s’est évanoui dans la nature après d’étranges découvertes. Les deux affaires sont-elles liées ?
Comme à son habitude, Bordelli est entouré de personnages hauts en couleur : le jeune Piras qui apprend le métier auprès de lui ; Diotivede, le vieux médecin légiste au visage enfantin ; Toto, le merveilleux et bavard cuisinier ; Rosa, l’ancienne prostituée et plus chère amie… Entouré mais toujours solitaire et nostalgique, désabusé mais aimant la vie, là sont bien les paradoxes de ce héros attachant que le lecteur sera ravi de retrouver – ou de découvrir.
Séducteur, corrompu, sarcastique, Schiavone est aussi antipathique qu’attachant. Le genre de héros qu’on adore détester…
Le commissaire Rocco Schiavone est romain jusqu’au bout des ongles : snob, macho et ronchon, il est doté d’un humour noir dévastateur. Muté à Champoluc dans le val d’Aoste, il vit son départ en province comme un exil. À son corps défendant, il doit quitter sa paire de Clarks adorée pour porter de répugnants après-ski et considère ses nouveaux collègues comme des ploucs.
Peu après son arrivée, on trouve le cadavre d’un homme sur une piste de ski, écrasé sous une dameuse. Accident ou meurtre? Quand le médecin légiste découvre un foulard dans la gorge de la victime, le doute n’est plus permis. Schiavone se plonge alors dans une enquête rocambolesque, freiné par son ignorance, voire son mépris, de la région et de ses usages. Mais certains habitants de cette vallée hostile et glaciale trouvent grâce à ses yeux. Notamment une habitante : la somptueuse Luisa Pec…
Rocco Schiavone a une nouvelle affaire sur les bras, et il est bien décidé à la régler presto.
Ester Baudo est retrouvée morte dans son salon, pendue. Le reste de l’appartement a été saccagé, et ce qui semble à première vue être un suicide se révèle vite un meurtre. On fait appel à Rocco Schiavone, ce drôle d’inspecteur, amateur de joints matinaux et de jolies femmes. Dans la petite ville grise et froide d’Aoste, il croise et interroge les proches de la victime. Il y a Patrizio le mari, Irina, la femme de ménage biélorusse à l’origine de la découverte du cadavre, ou encore celle qui semble avoir été la seule amie de la défunte, Adalgisa. Si la vie de la victime se dessine peu à peu, le mystère reste entier. Qui pouvait bien en vouloir à la calme et tranquille Ester Baudo?
Cette deuxième enquête de Rocco Schiavone, vice-préfet râleur, macho et doté d’un humour cinglant, ravira les amoureux du commissaire Montalbano, de l’Italie et des polars à l’humour grinçant.
« Quand Mercurio s’était jeté dans le canal, Giuditta avait eu la tentation de le retenir. Ou de s’y jeter avec lui. Elle ne voulait pas renoncer à la sensation de sa main dans la sienne. Elle ne voulait pas renoncer à lui. Déjà, les nuits précédentes, dans le chariot, elle avait senti une forte attraction pour les yeux de cet étrange garçon. Qui était-il ? Il n’était pas prêtre, il le lui avait avoué. Quels mots avait-il dits en sautant du bateau ? Elle se souvenait à peine. Sa tête se faisait légère. “Je te retrouverai”, voilà ce qu’il avait dit. »
La misère radieuse d’une bande d’enfants perdus, la fille secrète d’un médecin sans diplômes, la découverte de l’amour, l’or, le sang, la boue, l’honneur… pour son nouveau roman, Luca Di Fulvio vous emporte à Venise.
Une intrigue efficace, des dialogues authentiques et des personnages tous plus attachants les uns que les autres… Un roman historique unique.
À l’AG il a été décidé que notre « grand voyage de printemps » nous emmènerait dans le Tyrol italien (Trentino Alto Adige) et autrichien et à Salzbourg. Il aura lieu du 1er au 13 mai 2018. Continuer la lecture de Tyrol italien et autrichien et Salzbourg